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Le Dr Christopher Milroy, médecin légiste de renommée mondiale, reçoit une distinction royale

Un professeur de la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa, le Dr Milroy a été honoré du titre d’ « Officier de l’Ordre de l’Empire britannique », l’une des distinctions les plus prestigieuses attribuées au Royaume-Uni.

Grant and Award Announcement

University of Ottawa

Le Dr Christopher Milroy, médecin légiste de renommée mondiale, reçoit une distinction royale

image: Le Dr Milroy tenant son prix OBE lors de la cérémonie d'investiture du 9 avril. view more 

Credit: British Ceremonial Arts Limited via l'Université d’Ottawa

Le Dr Milroy a été honoré du titre d’ « Officier de l’Ordre de l’Empire britannique », l’une des distinctions les plus prestigieuses attribuées au Royaume-Uni.

Un professeur de la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa, qui figure parmi les médecins légistes les plus respectés au monde, s’est vu décerner une prestigieuse distinction royale en reconnaissance de ses nombreuses contributions professionnelles soutenues.

Lors d’une récente cérémonie au château de Windsor, une merveille architecturale de 1 000 pièces située à l’extérieur de Londres et considérée comme le château habité le plus longtemps au monde, le Dr Christopher Milroy a reçu l’Ordre de l’Empire britannique (O.B.E.).

L’Ordre de l’Empire britannique représente un grand honneur, comparable à l’Ordre du Canada. Le Dr Milroy dit qu’il a été « vraiment surpris et étonné » lorsque le haut-commissaire britannique au Canada lui a annoncé cette reconnaissance

Plus tôt ce mois-ci, lui et son épouse, la Dre Jacqueline Parai, médecin légiste et professeure agrégée à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa, se sont rendus en Angleterre pour assister à la cérémonie d’investiture qui s’est déroulée le 9 avril dans la grande salle de réception du château de Windsor. Ce fut une expérience inoubliable.

« Les murs étaient ornés de magnifiques tableaux représentant des monarques, des généraux, des amiraux et même un pape! Nous avons attendu d’être escortés jusqu’à la pièce où la princesse Anne distribuait les médailles. Inévitablement, nous étions un peu nerveux. La salle était magnifique, parée d’or et nous étions accompagnés partout par des officiers militaires en uniforme », raconte-t-il.

Lorsque son nom a été prononcé, le Dr Milroy s’est avancé vers la princesse Anne, appelée officiellement la « princesse royale », qui a épinglé la médaille O.B.E. sur le revers de sa veste et a échangé quelques mots avec lui au sujet de sa carrière. 

En plus de la fierté, recevoir cet honneur s’accompagne de quelques avantages méconnus. Par exemple, les récipiendaires de cet honneur prestigieux ont le privilège de se marier dans une chapelle spéciale de la cathédrale Saint-Paul de Londres, sous son imposant dôme, et leurs enfants jouissent également de ce privilège.

« Qui sait, peut-être que l’un de mes trois fils choisira de se marier à la cathédrale », dit-il.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la carrière distinguée du Dr Milroy a été à la fois intense, diverse et gratifiante. En voici quelques points marquants :

  • Il fait partie des 30 auteurs les plus cités au monde dans le domaine de la médecine légale et médico-légale, et est l’auteur le plus cité au Canada.

  • Il est l’ancien pathologiste en chef d’Ottawa et depuis 2008, année où il s’est établi au Canada en provenance de son pays natal, l’Angleterre, il est professeur titulaire à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa.
  • Dans les années 1990, il s’est penché sur des affaires de crimes de guerre dans l’ex-Yougoslavie et s’est rendu dans la région kurde de Turquie pour mener des autopsies et enquêter sur l’utilisation présumée d’armes chimiques.
  • Il a témoigné dans des centaines de procès pour meurtre à travers le monde, de l’Angleterre et du Canada à la Jamaïque et à l’Afrique du Sud. Il a également participé à des enquêtes en Australie et en Irlande.
  • En 2007 et 2008, il a été expert dans le cadre de l’enquête du gouvernement de l’Ontario communément appelée « l’enquête Goudge » sur les lacunes du système d’enquête de la province sur les décès d’enfants.

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