COVID-19 : des biomarqueurs associés aux formes graves de la maladie
Research News Release
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Une équipe de recherche du Centre de recherche du CHUM identifie de nouveaux biomarqueurs associés à la gravité de la COVID-19 chez des patients infectés.
La cellule doit fournir à ses organites les éléments énergétiques dont ils ont besoin et qui sont formés dans l'appareil de Golgi. Mais comment les protéines qui transportent ces cargaisons - les kinésines - trouvent-elles leur chemin au sein du « réseau routier» de la cellule pour les acheminer au bon endroit? Des chercheurs (UNIGE) ont mis au point un colorant chimique fluorescent qui permet de suivre l'activité de transport d'une protéine motrice spécifique dans une cellule.
À l'EPFL, des scientifiques ont mis au point un dispositif qui devrait aider à terme les personnes souffrant de cécité à récupérer une partie de leur vision.
La couverture médiatique de la COVID pendant les premiers mois de la pandémie a été assez positive selon plusieurs études internationales, indique un chercheur de l'Universidad Carlos III de Madrid (UC3M) qui a publié un essai dans lequel il analyse les processus de désinformation dans la sphère publique et l'écosystème de l'information pendant la pandémie de la COVID-19. En outre, d'une manière générale, les abonnements aux médias numériques ont considérablement augmenté.
Comment déterminer l'efficience d'une stratégie de dépistage du virus SARS-CoV-2 utilisant des tests groupés ? Une étude française prend en compte l'effet de dilution du test RT-PCR afin d'évaluer le nombre de faux négatifs potentiels en fonction de la taille de l'échantillon regroupé, d'optimiser la taille des groupes pour minimiser un risque épidémique, et de mieux déterminer le nombre de personnes contaminées dans une population donnée.
Jusqu'à l'éruption du volcan Eyjafjallajökull, les modèles des VAAC étaient basés sur le suivi des nuages dans l'atmosphère. Suite à cela, des seuils de concentration de cendres ont été utilisés par l'industrie aérienne pour les restrictions de vol. Cependant, une équipe de l'UNIGE a découvert que même les plus petites cendres volcaniques ne se comportaient pas comme prévu. Ses résultats permettront d'affiner la représentation des cendres volcaniques dans les modèles de prévision.
Des chercheurs de l'Université d'Ottawa et l'Institut de recherche Bruyère ont reçu 3,5 millions de dollars de subventions de le gouvernement du Canada, par l'entremise de son Groupe de travail sur l'immunité face à la COVID19 (GTIC), pour leur étude interprovinciale. L'équipe recrutera plus de 3 500 résidents et 2 500 travailleurs dans les établissements de soins de longue durée de trois provinces avec l'objectif de comprendre comment divers facteurs d'immunité, comme les anticorps, réagissent à la COVID-19 ou aux vaccins.
Le temps presse de prendre d'importantes décisions qui pourraient nous permettre de profiter des avantages qu'offrent les véhicules autonomes, connectés, électriques et partagés (CASE), selon le nouveau rapport d'un comité d'experts du Conseil des académies canadiennes (CAC). Ces véhicules ont le potentiel de faire croître l'économie et de changer fondamentalement le monde du transport en le rendant plus sécuritaire, plus propre et plus accessible. Mais il est également possible que, sans une gestion proactive, ils détériorent plutôt la qualité de l'air et empirent la congestion routière. De plus, ils pourraient aussi exacerber les inégalités dans le monde du transport.
Une équipe de recherche vient de montrer que les articles scientifiques dans les domaines de l'écologie et de la biologie de la conservation sont très majoritairement signés par des hommes travaillant dans quelques pays occidentaux. Ainsi, ils représentent 90 % des 1051 auteurs et autrices qui ont le plus abondamment publié au sein des 13 plus grandes revues scientifiques de leur domaine depuis 1945. Parmi ces hommes, les trois quarts sont affiliés à des institutions de seulement cinq pays.
En analysant le génome de milliers d'individus, une équipe dirigée par l'UNIGE et le King's College de Londres a découvert des similitudes entre les bases génétiques de l'anorexie mentale, la boulimie et les accès hyperphagiques et celles d'autres troubles psychiatriques. Par contre, les associations génétiques de ces troubles alimentaires divergent quand on les associe génétiquement à certains traits anthropométriques. Ainsi, la prédisposition génétique à certains traits corporels constitue une caractéristique qui permettrait de les distinguer.